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Ne manquez pas l'opportunité de concrétiser votre projet immobilier ! Venez nous rencontrer du 27 au 30 juin 2023, de 09h à 16h, lors de nos journées portes ouvertes. Une équipe de professionnels se tiendra à votre disposition pour répondre à toutes vos questions sur le financement et l'immobilier. Nous avons hâte de vous accompagner dans votre projet immobilier !

#CFC #JPO #immobilier #financement #projetimmobilier.

Ça se passe ici :

  • Région du centre : Yaoundé - Avenue Foch;
  • Région du littoral : Douala - Rue DUWARF BONANJO;
  • Région du sud : Ebolowa - Carrefour AN 2000;
  • Région de l’Est : Bertoua - A proximité de la CUB;
  • Région du sud-ouest : Buea - Great SOPPO;
  • Région du nord-ouest : Bamenda - City Chemist Round About;
  • Région de l’ouest : Bafoussam - AVENUE TAMDJA;
  • Région du nord : Garoua - Avenue des banques;
  • Région de l’extrême nord : Maroua - Avenue des Banques.
  • Région de l’Adamaoua : Ngaoundéré - Face Cathédrale notre Dame des apôtres.

Placée sous la Présidence de Monsieur Jean Claude MBWENTCHOU, et en présence de Monsieur le Gouverneur de la Région du SUD OUEST et de nombreux invités,  une cérémonie de signature d’une convention de financement entre le Crédit Foncier du Cameroun et le promoteur OPTIONS FOR  HOMES a été signée le 22 janvier 2016 à LIMBE.

En ouverture de la cérémonie, le maire de LIMBE II prenant la parole au nom du Délégué du Gouvernement auprès de la Communauté Urbaine de LIMBE empêché, a saisi cette occasion pour lancer un vibrant appel aux élites intérieures et extérieures camerounaises vivant au Cameroun comme à l’étranger afin qu’elles suivent l’exemple de OPTIONS FOR HOMES ou à défaut afin qu’elles acquièrent des logements dans le programme, ce qui leur permettra d’avoir un toit dans la ville balnéaire qui s’apprête à accueillir la Coupe d’Afrique des Nations.

Intervenant à la suite pour une présentation technique du projet, le Gérant OPTIONS FOR HOMES a dit que les travaux objet du financement portent sur la phase I du programme immobilier baptisé OCEAN VIEW ESTATE HOUSING, correspondant à la construction de 137 logements au lieu-dit Mokundange, dans la municipalité de LIMBE II.

Monsieur Jean Paul MISSI, Directeur Général du Crédit Foncier du Cameroun,  présentera quelques pans de l’activité de l’entreprise qu’il dirige et qui est parfois mal connue, voire mal perçue. En substance, le Crédit foncier a revisité son projet d’entreprise pour orienter prioritairement ses financements vers la production de masse des logements, à travers un soutien financier accru aux promoteurs immobiliers notamment privés. C’est, a-t-il poursuivi,le sens de l’engagement aux côtés du promoteur OPTIONS FOR HOMES afin de le soutenir dans la première phase de ce projet qui constituera à n’en pas sans douter un accélérateur de croissance économique et d’amélioration du cadre de vie pour les populations de la ville de LIMBE et même de la Région du Sud-Ouest.

Clôturant la série d’interventions, Monsieur Jean Claude MBWENTCHOU, Ministre de l’Habitat et du Développement Urbain, a révélé qu’il s’agit là de la concrétisation d’une option politique forte du Gouvernement. En effet, dans un contexte où les besoins en logements ne peuvent plus être satisfaits par les seuls promoteurs publics ou des initiatives individuelles, le Gouvernement a mis en place un cadre législatif et réglementaire et un régime d’incitations aux investissements, dans l’optique de faciliter et defavoriser l’implication et l’intervention des promoteurs privés nationaux et internationaux dans la production des logements.

Un partenariat gagnant-gagnant traduit par l’opportunité offerte par l’Etat aux promoteurs immobiliers qui pourront jouir de diverses mesures d’appui dont, le financement des voies d’accès et des VRD, l’accompagnement voire, la facilitation de l’accès au foncier. Ainsi, pour apporter son appui au projet, OPTIONS FOR HOMES bénéficiera d’un appui du Ministère de l’Habitat et du Développement pour l’aménagement de la voie du site de construction étant entendu que cette initiative est la première du genre réalisée en dehors des principales métropoles du pays que sont Douala et Yaoundé.

Action citoyenne salutaire pour les acquéreurs. Toute chose qui illustre la volonté des acteurs à mettre en œuvre les Orientations du président de la République, S.E.M. Paul BIYA qui prescrit en cette année 2016 de fructifier les acquis et améliorer les conditions de vie des populations camerounaises.

Galerie Photos :

 

Ca y est ! Les camerounais résidents en Amérique du Nord et au Canada peuvent désormais en toute sérénité et en toute sécurité réaliser leurs projets immobiliers dans leur pays d’origine, grâce au Crédit Foncier du Cameroun représenté par le Groupe Foyo.

Le 24 octobre 2015, est un jour qui restera gravé dans les mémoires de la diaspora camerounaise résidant en Amérique du Nord. Le Crédit Foncier du Cameroun y a établi un pont pour leur permettre de contribuer activement à la construction de leur pays. A cet effet, Jean-Paul Missi, Directeur Général du Crédit Foncier du Cameroun (CFC), accompagné de Jean-Claude ABE, Directeur des Études,  de la Coopération et du Suivi, et de Jean-Claude EBE EVINA, Directeur de la Gestion des Risques et de la Conformité, a procédé au lancement officiel des activités de la Représentation du CFC au CANADA.

Environ 400 membres venus du Canada et des Etats-Unis, se sont retrouvés dans la salle de gala du Temple Emanu El-BETH SHOLOM, située sur la rue de Sherbrooke à Montréal, pour aborder, avec leurs hôtes du jour, toutes les problématiques et les contraintes liées à l'accès au logement dans leur pays d’origine, le Cameroun. Ce qui a donné lieu à des échanges, francs et conviviaux qui ont porté principalement sur : la présentation du Crédit Foncier du Cameroun, son offre commerciale, ainsi que les nombreuses réformes et mesures incitatives mises en place pour faciliter l’accès au financement du logement. La question du rôle du Groupe Foyo a également été évoquée. A ce sujet, Le Directeur Général du Crédit Foncier a précisé qu’un contrat de représentation lie le CFC au Groupe Foyo qui de ce fait, est autorisé à vendre les produits du CFC : « à tous les camerounais (de cette zone), sans distinction ni discrimination, pour autant que les conditions réglementaires requises soient satisfaites ». La troisième partie était dédiée aux questions réponses au cours de laquelle, l’assistance a eu des éclairages sur les opportunités offertes par le CFC et la politique d’accompagnement qu’il met en place en faveur de la diaspora, dans le sillage du Gouvernement et conformément aux hautes orientations du Président de la République S.E Monsieur Paul BIYA.

Sur ce, la diaspora canadienne a été invitée : « comme client du CFC, promoteur ou investisseur partenaire, à s'impliquer dans cette démarche de résolution du problème de l'accès au logement.»

Contacts :

GROUPE FOYO

M. Ludovic Martial FOYO
Tél : +1 (514) 416-0255 Poste 102 //
Cellulaire : + 1 (514) 662-3694

Assistante communication :
Madame Dominique Marianne ABANA
Téléphone : +1 (514) 416-0255 Poste 100 //

Dans le cadre de sa politique de facilitation de l’accès au crédit immobilier, le Crédit Foncier du Cameroun (CFC) a signé des conventions de représentation avec le Groupe FOYO sis à Montréal (Canada), ARCHI-PAT basé à Strasbourg (France) et MONNEYDIASPORA dont le siège est à Lyon (France), en vue d’offrir à la diaspora la possibilité d’accéder à ses produits.


Ces actes s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Stratégique de développement du Crédit Foncier du Cameroun, dont l’un des axes majeurs est l’implication de la diaspora comme client, investisseur ou promoteur dans la recherche de solution à la problématique de l’accroissement en offre de logements. Monsieur Jean Paul MISSI, Directeur Général du CFC, révèle que la diaspora : « a toujours été une préoccupation constante du Crédit Foncier, en droite ligne des orientations du Gouvernement, en raison de véritables opportunités qu’elle offre, aussi bien en termes de clientèle potentielle, généralement solvable, qu’en ce qui concerne les profils et les compétences dont elle regorge et qui s’avèrent nécessaires au développement de la filière de production du logement ». Il est à noter que « Les Camerounais vivant hors des frontières nationales dont la population dans le monde est estimée autour de un à deux millions, constituent un gisement important de compétences, d’investissements directs dans divers domaines, dont l’immobilier » (Source Minrex). Il s’agit donc d’un important gisement qui pourrait significativement contribuer au processus d’augmentation de l’offre en logements du plus grand nombre.

Contacts :

GROUPE FOYO :

M. Ludovic Martial FOYO

Tél : 001 514-416-0255 Poste 102 // Cellulaire : 001 514-662-3694

   Assistante communication :

   Madame Dominique Marianne ABANA
   Téléphone : 001 514-416-0255 Poste 100 
   Cellulaire : 001 514-660-5345

MONNEYDIASPORA :

7, Rue Paul Sisley, 69003-Lyon

ARCHI-PAT :

4, Rue Edmond Flamand, 67800-Bischeim,
Tél  : 09 64 09 83 34
Port : 06 07 77 44 56
Fax  : 03 88 81 28 43

 

Quelle est la contribution du Crédit Foncier du Cameroun (CFC), dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale de l’habitat social ?

Je vous remercie pour cette opportunité de communication que vous nous offrez. Je commencerai, si vous en convenez, par rappeler les missions assignées au Crédit Foncier pour mieux mettre en exergue sa contribution dans la mise en œuvre de la politique gouvernementale de l’habitat social au regard de la multitude d’intervenants. Le Crédit Foncier du Cameroun est un établissement de crédit mis en place par le Gouvernement de la République pour apporter son concours financier et son expertise à la réalisation de tout projet destiné à promouvoir l’habitat en général et l’habitat social en particulier.

A ce titre, il est notamment habilité à :

  • Financer les projets d'aménagement de terrains à bâtir et/ou de construction d'ensembles immobiliers à  usage d'habitation destinés à l'accession de la propriété ;
  • Financer les projets immobiliers  à usage d’habitation destinés à la location;
  • Rechercher et mettre en place les financements nécessaires aux sociétés immobilières publiques ou privées  ainsi qu’à la réalisation de tout programme de logements sociaux ;
  • Collecter et recevoir les dépôts d’épargne des personnes physiques ou morales en vue de faciliter l’accès à la propriété immobilière ;
  • Accomplir toutes opérations financières, commerciales mobilières et immobilières se rattachant directement ou indirectement à la promotion de l’habitat.

Les missions du Crédit Foncier s’inscrivent parfaitement dans la thématique de la journée mondiale de cette année qui porte sur la politique du logement des habitations abordables

Pour revenir à votre question relative à la contribution du CFC ; on relève que depuis sa création le CFC est partie prenante via ses financements à tous les programmes de logement conduits jusque là par le Gouvernement. Il finance également :

  • des programmes exécutés par les promoteurs immobiliers privés ;
  •  ce que l’on appelle dans le jargon le secteur diffus, le gros de sa clientèle constituée de personnes physiques, pour l’acquisition de parcelles ou la construction de logements ;
  • depuis quelques temps, les cités municipales au bénéfice des collectivités territoriales décentralisées ;
  • bientôt les associations bien structurées et capables de fournir certaines garanties ;
  • le personnel de certaines entreprises avec lesquelles il a une convention n’est pas en reste.

Par ailleurs, nous procédons à travers le produit Compte d’Épargne Logement à la mobilisation des ressources.

Toutes les interventions du CFC sont véhiculées par une quinzaine de produits hypothécaires. Et depuis sa création, il y a près de quarante ans, le Crédit Foncier, a injecté dans le circuit économique près de 350 milliards de FCFA. Ce bilan est appréciable au regard du contexte et des contraintes qui prévalent dans notre environnement, surtout si de surcroît, on prend en compte l’impact des prêts du CFC à travers les effets multiplicateurs en termes de fiscalité, de production et de commercialisation des matériaux de construction, de création d’emploi, ainsi que la structuration du secteur de l’habitat.

progression constante et une amélioration de la production des prêts destinés aux logements sociaux. C’est ainsi qu’en 2013 le CFC a octroyé plus de 10,5 milliards FCFA, en 2014 plus de 14 milliards, en 2015, plus de 18 milliards de FCFA et en 2016 près de vingt (20) milliards de FCFA de prêts à sa clientèle, toutes catégories confondues. A cet égard, je me permets de préciser que le Programme de Construction des Cités Municipales a en 2015, bénéficié des accords de financement d’un milliard trois cents millions. Cette année, ces accords de financement se chiffrent déjà à plus de deux milliards. Quant aux jeunes, les financements qui leur sont octroyés augmentent d’année en année. Ainsi, en 2014 cette cible a bénéficié des financements pour un montant d’un milliard et demi de FCFA soit 11% sur la production totale chiffrée à près de 14 Milliards, en 2015, 2,3 milliards (13%) sur 18,825 milliards, et en 2016 ils se chiffrent à près trois milliards cinq cent millions sur les 20millards de production totale (18%).

En 2017, tout porte à croire, au vue du trend observé au cours de ces trois dernières années, que la production totale sera au moins égale sinon supérieure à celle de 2016. Ce n’est certainement pas l’optimum, il y a encore des marges de progressions importantes.

Par ailleurs, le CFC contribue à la structuration du secteur par un encadrement approprié des promoteurs immobiliers et un partenariat de plus en plus dynamique avec les banques commerciales ainsi qu’avec les différents acteurs intervenants dans la filière de l’habitat en général et du logement social en particulier. Voilà schématiquement la contribution du CFC.

D’où vous proviennent les fonds qui vous permettent de financer l’habitat social ?

Il existe trois principales sources :

  • La contribution du Crédit Foncier du Cameroun qui est une taxe para fiscale fixée par la loi des finances,  et qui est prélevée sur les salaires des employés et la masse salariale distribuée par les entreprises. Elle s’élève aujourd’hui à près de trente deux (32) milliards de FCFA par an. Toutefois, il convient de relever qu’elle nous est reversée en fonction des contraintes des finances publiques ;
  • La deuxième source de financement, plus régulière, est constituée des remboursements des prêts octroyés aux clients dont l’encours s’élève à plus de 179 milliards de FCFA. Son rendement n’est pas encore satisfaisant du fait d’une culture de non remboursement que semblent avoir adopté certains clients ;
  • La collecte de l’épargne et la mobilisation des ressources sur le marché.

Il se dit que les fonds dont vous disposez dans vos caisses sont sous utilisés. Comment expliquez-vous cela au moment où les grandes villes vivent une crise du logement ?

Je voudrais commencer par évoquer quelques considérations qui sont à l’origine ou de nombreux malentendus et confusions. La première, c’est la différence entre un prêt (ou un crédit) et une subvention, qui tient essentiellement à l’obligation d’honorer son engagement, autrement dit à de rembourser le prêt (ou le crédit). L’octroi d’un crédit obéit dès lors à un certain nombre de critères et de conditions susceptibles de garantir le retour des fonds. Il est donc clair que seuls les projets viables ou dits bancables sont éligibles à nos financements et leur instruction consiste précisément à en apprécier les risques d’exposition. C’est la raison pour laquelle ce secteur d’activités est strictement réglementé par le Droit bancaire et plus spécifiquement par les règlements COBAC.

Cette précision étant faite, j’en viens à la deuxième considération pour revenir à votre question ; je confirme effectivement que le CFC dispose d’importantes ressources prévues par la Loi. Mais, je m’empresse d’indiquer que ces ressources que vous évoquez ne sont pas dans nos caisses, elles sont domiciliées dans notre compte au Trésor Public, et ne sont donc que potentiellement mobilisables en fonction des contraintes de notre environnement économique dont j’ai parlées.

En revanche, les ressources effectivement mobilisées quant à elles sont mises à la disposition de la forte demande enregistrée. D’où, l’évolution de la production que j’ai également évoquée. Ceci dit, le CFC ne peut financer que les projets viables qui lui sont soumis, naturellement dans les limites de ses ressources. Toutefois, un projet important et rentable peut mobiliser les ressources nécessaires même au delà du seul guichet CFC. Il nous a déjà été donné l’occasion de jouer ce rôle dans le cadre de la syndication des prêts.

En définitive, la question est moins celle des ressources, mais plutôt celle de la viabilité, du montage et des conditions d’exécution du projet. A cet égard, notre portefeuille est assez illustratif de ce constat (prêts non performants).

Il y a des agents publics qui terminent leur carrière sans pouvoir bénéficier d’un prêt alors qu’ils subissent des prélèvements à votre profit. Que proposez-vous à ceux qui ne contractent pas de crédit chez vous

Je ne sais pas si je saisis bien le sens de votre question, mais je voudrai rappeler que la principale ressource du CFC est la Contribution CFC, telle que prélevée du reste sur les bulletins de paie des salariés. Elle est une taxe parafiscale à ne pas assimiler ou confondre avec une cotisation similaire à celle collectée par la CNPS auprès des employés. Par contre, elle se rapproche davantage de la contribution reversée à la CRTV ou au FNE. Je pense qu’il est bon de rappeler qu’il s’agit là de ressources publiques que le Législateur a affectées directement à certaines missions des Pouvoirs Publics. Ceci dit, j’affirme que tout citoyen peut solliciter ou prétendre à un prêt, qui ne lui sera cependant accordé qu’au cas où il remplit toutes les conditions requises. La question ne relève pas d’une logique de distribution mécanique de prêt ou de remboursement de la contribution prélevée, mais d’une logique d’éligibilité au crédit.

Toutefois, le gouvernement a atténué cette rigueur du marché en introduisant le concept de logement social ou abordable qui vise précisément les catégories vulnérables et aux revenus limités.

Le Crédit Foncier du Cameroun (CFC) n’est pas assez connu du grand public, ses produits encore moins. Est-ce une stratégie pour vous d’évoluer dans l’ombre afin d’éviter de nombreuses sollicitations ?

Si vous affirmez que le CFC n’est pas assez connu du grand public, c’est peut être parce que ses produits ne sont pas des produits de consommation courante ou de grande consommation. Mais en réalité, nous avons une stratégie ciblée sur la clientèle susceptible de nous solliciter, en l’occurrence les promoteurs immobiliers, les Collectivités Territoriales Décentralisées et tous ceux qui investissent dans la pierre ou l’acquisition des parcelles.

En tant qu’institution publique, nous contribuons pleinement à la mise en œuvre de la politique du Gouvernement à travers l’offre d’une palette diversifiée d’instruments financiers permettant aux citoyens d’accéder à un logement décent.

Notre Catalogue de produits est disponible dans toutes les agences représentées dans les chefs lieux de région. Peut- être, trouvez- vous que nous n’en faisons pas assez; il y a certes des marges de progression et nous travaillons à cela, et la croissance de notre portefeuille témoigne de la pertinence de notre stratégie. C’est le lieu de mentionner spécialement l’émergence et le développement d’un produit destiné aux jeunes travailleurs âgés de trente cinq (35) ans qui peuvent accéder à un prêt maximum de cinquante millions (50 000 000) de FCFA sans apport personnel et à un taux de 4% TTC.

Pour élargir constamment notre cible, le dit catalogue est en perpétuelle révision, (associations) ce qui démontre que nous nous exposons et n’évoluons pas dans l’ombre.

Cependant, je reconnais qu’en matière de gestion il y a un risque à ne pouvoir satisfaire une forte demande lorsqu’on ne dispose pas de ressources suffisantes. Mais, le CFC n’a pas encore atteint ce seuil de sollicitation qui constitue une limite de risque dans le métier appelée risque de liquidité.

Interview du DG CFC à CRTV/RADIO 27 Septembre 2017

La signature du Protocole d’Accord entre le Crédit Foncier du Cameroun (CFC) et le Pari Mutuel Urbain Camerounais (PMUC) a eu lieu le 30 septembre dernier, en vue de la facilitation de l’accès du personnel du PMUC aux financements du CFC.

Cet acte intervient dans un contexte où le Crédit Foncier du Cameroun a entrepris, sous la houlette du Gouvernement, de faciliter l’accès du plus grand nombre au financement du logement, en contribuant, autant que faire se peut, à desserrer les contraintes qui pèsent sur le secteur. Ce qui a donné lieu à la révision de l’offre commerciale dont le principal objectif était d’élargir et de diversifier le champ de ses clients potentiels. Et c’est également dans cette perspective, comme l’a relevé Jean Paul Missi, Directeur Général du CFC, qu’il a été mis en place : « un dispositif permettant aux employeurs de renforcer leurs politiques internes d’accompagnement, en favorisant, grâce aux opportunités offertes par le CFC, un accès aisé de leurs personnels au crédit à l’habitat aux meilleures conditions du marché». Le PMUC, par la voix de son Directeur général Louis Paul TASSO, a relevé pour sa part que : « ce protocole est la matérialisation concrète de la volonté du PMUC de permettre à son personnel d’accéder à la propriété immobilière, et ce, à des conditions préférentielles que seul le Crédit Foncier du Cameroun peut consentir actuellement». Il y a lieu de souligner qu’à ce jour, le CFC a déjà signé dix huit protocoles d’accord de même nature et accordé, sur cette base près de deux milliards de francs CFA depuis le début de l’année.

Ce nouveau partenariat gagnant-gagnant permettra au CFC de remplir davantage sa mission régalienne de financement de l’habitat, et au PMUC de contribuer à l’amélioration du cadre de son personnel et par ricochet, à la mise en œuvre de la politique des Grandes Réalisations en matière de lutte contre la pauvreté et notamment, de réduction du déficit en logement.

Jean Paul MISSI, DG/CFC a saisi l’opportunité offerte par cette cérémonie, pour lancer aux entreprises le vibrant appel ci-dessous :
« je saisis dont cette occasion pour rappeler à tous les chefs d’entreprise, que le Crédit Foncier du Cameroun, en tant qu’entreprise citoyenne, a dans son portefeuille des produits, une offre susceptible d’accompagner leurs personnels dans la réalisation de leurs projets immobiliers, de mieux les mobiliser et d’accroître leur productivité ».

Chaque année, la journée du 1er mai est consacrée à la célébration de la Fête du Travail. Au Crédit Foncier du Cameroun, on a salué le repos mérité des retraités, tout en restant en harmonie avec le thème de la journée.

La mobilisation du personnel du Crédit Foncier en faveur de la célébration de la Fête du Travail était visible dans tous les chefs lieu de Régions. En harmonie avec la communauté nationale et internationale, les dix (10) Agences du Crédit Foncier ont apporté leur adhésion civique et citoyenne pour commémorer cette 129ème fête du travail.

Au niveau du Siège à Yaoundé, le Directeur Général, Jean Paul Missi M. à N., et présence du Directeur Général Adjoint, Jean Calvin Tjonog, a passé la fête aux côtés du personnel autour de la cérémonie y consacrée dans la salle des banquets de l’Hôtel des Députés.

Dans son allocution de circonstance, Jean Paul Missi M. à N., est resté dans le thème de la journée : « Construire l’avenir du Cameroun dans la paix, la solidarité et le travail ». En inscrivant la solidarité dans la tradition africaine, il a pris le temps pour expliquer la place de la paix dans le développement intégral du pays et l’épanouissement de l’entreprise dans ses objectifs de performance. Il a ainsi salué les efforts entrepris des mains de maître par le Président de la République, Son Excellence Paul BIYA, à l’effet de garantir la sécurité et la paix au Cameroun. Quant au travail décent du personnel, il a réaffirmé qu’elle était partie intégrante, et de manière permanente, des efforts de la Direction Générale.

Les retraités salués

Ils étaient une quinzaine, les retraités du Crédit Foncier du Cameroun qui ont reçu des cadeaux des mains de la Direction Générale. Véritable moment marquant de la cérémonie, ce signe de reconnaissance pour services rendus a permis au Directeur Général de saluer le travail de la première génération des personnels du Crédit Foncier qui prend ainsi sa retraite au moment où l’entreprise est dans une phase de rajeunissement de son équipe.

Les récipiendaires n’ont pas manqué de saluer le geste de la Direction Générale : « Aussi tenons-nous à vous remercier très sincèrement de nous avoir associé à ce banquet de la fête internationale du travail 2015, ce qui prouve à suffisance l’intérêt que vous portez à vos anciens collaborateurs. Évidement, c’est avec quelques regrets que nous prenons définitivement congé de vous, car depuis votre arrivée à la tête du Crédit Foncier du Cameroun, votre bonté, votre constante bienveillance nous rendaient la tâche particulièrement facile et agréable », a indiqué Nicolas Deutchoua, ancien Auditeur Sénior et porte-parole du collectif des retraités.

Lors de cette cérémonie, un repas a été offert à l’ensemble du personnel par la Direction Générale. Occasion aussi donnée à certains « talents cachés » qui se sont révélés à travers des playbacks, ballets, interprétations et danses traditionnelles.

 

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Le Crédit Foncier du Cameroun (CFC) est un etablissement public à caractère commercial. Il est doté d’une personnalité juridique et de l’autonomie financière.

Il a pour objet social d’apporter son concours financier à la réalisation de tout projet destiné à promouvoir l’habitat.

484 Boulevard du 20 mai 1972, face Hilton Hôtel
   &nbsp BP 1531 Yaoundé

Nous sommes ouvert de 7h30 à 15h30 de Lundi à Vendredi.

+237 222 23 52 15
     +237 222 23 52 16
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